Quand nous sommes arrivés à Christchurch, nous avons trouvé une ville bien plus détruite par les tremblements de terre que nous le pensions. Nous n'avons même pas pu accéder au centre, fermé par des barrières car ce qui reste des bâtiments risque de s'écrouler. En plus avec la neige inhabituelle, il y avait vraiment une atmosphère de fin du monde. Bien glauque ! Nous sommes donc directement repartis direction Dunedin.
Heureusement, la neige ne tient pas sur les routes car le minibus n'a pas de pneus neige. Il fait froid mais nos deux duvets et couvertures polaires nous tiennent suffisamment chaud pour continuer à dormir dans le bus et quand les nuits sont trop froides, nous allons dans des campings où nous pouvons brancher notre petit chauffage et prendre une douche bien chaude !
 |
| Le centre inaccessible et les building vides... |
 |
| En Nouvelle-Zélande, il y a 10 fois plus de moutons que d'habitants (4.3 millions). |
Nous nous sommes arrêtés à Oamaru pour observer les pingouins à yeux jaunes, mais nous n'en avons vu qu'un seul ! Et mon appareil était en mode noir et blanc quand j'ai pris la photo dans le stress ! :0)
Ils partent tous les jours pêcher à 30km avant de revenir dormir sur ces plages.
Le lendemain, nous partons voir ces drôles de rochers qui ont 55 millions d'années...
 |
| Les Moeraki Boulders |
Et nous arrivons dans la sympathique ville de Dunedin où nous profitons de nous régaler de sushis et d'aller au cinéma voir un super film russe que l'on vous conseille :
"Sur une île désolée de l’Océan Arctique, 2 hommes habitent une station polaire qui fut naguère un poste militaire russe avancé. Sergei est un météorologiste expérimenté, Pavel vient d’achever ses études. Dans une isolation totale, et dans des conditions de vie extrêmes, le duo établit des rapports que l’arrivée d’un mystérieux message, quelques malentendus et mensonges aussi, vont faire se détériorer dans des proportions dramatiques…"
 |
| Le beau temps est enfin de retour ! |
 |
| La brasserie Speight's |
 |
| La route la plus pentue du monde (Baldwin street) |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire