La belle Lima, la capitale

Huaraz

Le mate de coca

De l'eau cuite de la riviere avec des feuilles de coca qu'on a bu pour ne pas avoir le mal d'altitude.

Trekking de Santa Cruz

Nous avons fait un trek de 4 jours dans la Cordillere Blanche avec des mules qui portaient les tentes, la nourriture et nos affaires. Nous etions un sympathique groupe de 6 (2 Coreens du Sud, un Americain et une Mexicaine) avec un guide, un cuisinier et un aide. A part un premier jour de pluie avec la nuit sous tente bien humide et la deuxieme nuit ou il a gele et fait -8 degres, on a eu de la chance avec le temps car il a fait beau les 3 autres jours. On a marche 50 km de Cashapampa a Vaqueria avec un denivele de +2500m et on a franchi un col a 4800m.

Huacas de la Luna

Le dieu Ai Apaec de la culture Mochica (avant les Incas) reprensentant les 3 mondes : les vivants, le ciel et l'apres-vie



Le Coca Cola peruvien

Huanchaco

Les pecheurs locaux utilisent toujours les etroites embarcations en roseau (caballitos de totora) qui figuraient sur les poteries mochicas vielles de 2000 ans.

Trujillo

Chan Chan

La capitale des Chimu construite vers 1300. Il s'agit de la plus grande ville precolombienne des Ameriques et la plus vaste cite en adobe de la planete. Mais ce site a beaucoup souffert de la conquete espagnole et des inondations et il n'en reste presque plus rien.

Chien peruvien sans poil

Ils servent traditionnellement de bouillottes aux arthritiques car leur temperature coroporelle est de 40 ° C

Les tombes de Sipan

Sipan, site funeraire et religieux decouvert en 1987, de la culture Mochica datant de 1700 ans.

Le squelette que l'on voit dans le coin du mur vient d'etre decouvert il y a une semaine ! Ca faisait un peu Indiana Jones d'arriver sur ce site ou il y a encore des archeologues qui travaillent et qui retrouvent des nouveaux tresors !

La Tumba del Señor Sipan, enterre avec ses femmes, ses gardes, des animaux et tous ses bijoux

Les tresors voles par les pilleurs de tombes peruviens et revendus illegalement a des collectionneurs etrangers. Le Perou essaie des les recuperer, mais une grande partie est introuvable.

L'electricite...Se fue la luz !! :0)

Hier soir, je me suis faite secouee en eteignant la lumiere, a tel point que j'ai senti la decharge jusque dans mon coude ! Et la lumiere est restee allumee ! Du coup j'ai du lancer le gros guide Lonely Planet contre l'interrupteur du mur pour pouvoir eteindre sans risquer une nouvelle decharge !! :0) Et ce matin, la douche chauffee a l'electricite avec tous ses fameux cables ne m'inspira pas trop confiance... mais bon il n'y avait pas le choix. Alors que je profitais de ma bonne douche chaude, le voisin a decide d'en faire autant. Du coup, court-circuit : ma douche est devenue glacee et la lumiere s'est eteinte ! Et j'ai du finir ma douche gelee dans la nuit... Morte de rire car il n'y a rien d'autre a faire !! :0)



El mercado de los Brujos (chamans) a Chiclayo

Ou l'on trouve tous les elixirs, grigris, potions magiques pour jeter un sors ou en briser un, etc...

Le Perou

On est parti jeudi matin de Cuenca et apres 13h de bus, on a passe la frontiere a Macara et on est arrive le soir a Piura apres avoir traverse une zone desertique et je ne sais pas combien de controles de police qui heureusement ne nous ont pose aucun probleme. On etait un peu deboussole au debut car la ville ne ressemble pas du tout a ce qu'on a connu en Equateur. Tout est plus bruyant, plus defraichit et en plus on est arrive le soir d'un congres et du coup on a du se contenter d'une chambre de style "cellule carcerale" et le fait que le gardien fermait a chaque fois une immense grille derriere nous n'a fait que de renforcer cette impression. Vraiment glauque. Mais on a pas traine la et on est directement reparti pour Chiclayo le lendemain.

Dernier jour en Equateur...

Hier soir, on est alle voir une piece de theatre, un thriller (el Murcielago doble) et c'etait tout a fait inatendu et tres sympa. Cuenca est vraiment une ville ou il fait bon vivre avec une vie bien plus alternative et marginale que dans les autres villes d'Equateur. Ce matin on est monte au Mirador Turi qui surplombe Cuenca, puis on est alle visiter le Museo PumaPungo ou ils decrivaient les coutumes des nombreuses ethnies d'Equateur (avec toutes les differentes tribus Indigenas, les Mestizos, les anciens esclaves de la Costa, etc). Il y avait meme des vraies tetes humaines reduites (Tzantzas) par les Shuar ! Cette pratique est maintenant interdite par la loi, mais moi je suis quand meme restee tres gentille avec ma famille Shuar dans l'Amazonie ! :0)

Puis on est alle voir les ruines des Cañar (qui etaient la avant les Incas) :

Demain matin, on part pour le Perou. On va faire 13h de bus. Je quitte l'Equateur avec un reel pincement au coeur. Je peux que vous conseiller de venir decouvrir par vous-meme ce magnifique pays ou les gens sont si gentils et ou j'ai rarement vu une si grande variete ethnique et de paysages.

El amigo dans une boutique de CD's..... ;0)

Musee du Panama (ou Sombrero de Paja Toquilla) a Cuenca

Le panama est un chapeau d'origine équatorienne malgré son nom qui renvoie à Panamá.

Le panama est une des composantes traditionnelles et séculaires des tenues vestimentaires d'un certain nombre de tribus du sud de l'Équateur. Certains panamas de qualité supérieure peuvent exiger plus de six mois de fabrication (jusqu'à dix mois de tissage). Il existe trois façon de tisser les panama : brisa, cuenca (de sa ville d'origine), et montecristi (Montecristi est une bourgade de la région de Manabi, entre la côte Pacifique et les Andes) ; chaque façon a son point de tissage particulier et sa position pour le confectionner ; se tisse assis à Cuenca mais debout à Montecristi, penché sur son ouvrage.

Le terme panama ne s'applique pas à une forme mais à une matière : la fibre de jeunes pousses de palmiers d'Équateur. Originellement, il se fabriquait exclusivement en feuilles de bombanaxa.

Les découvertes archéologiques de la culture Valdivia confirment la présence de chapeaux de paja toquilla en 4 000 av. J.-C. ; les Espagnols le découvrent au XVI^e siècle suite à la colonisation de l’Équateur. Devant une telle finesse de tissage, ils croient qu'ils sont fabriqués avec la peau des ailes de chauves-souris.

Pour la première fois, en 1855, à l’occasion de l’Exposition universelle de Paris, le chapeau de paille est présenté en France avec une collection qui impressionne les Européens par la finesse de son tissu.

Pendant la construction du canal de Panamá, des ouvriers du monde entier acquièrent les chapeaux de paille équatoriens pour se protéger du soleil. Panama sert de vitrine commerciale à l’Amérique du Sud. Le chapeau de paille est baptisé panama malgré son origine équatorienne. En 1906, Théodore Roosevelt porte ce chapeau lors de sa visite aux chantiers du Canal et contribue à populariser le « Panama Hat » (chapeau Panama), auparavant traditionnellement appelé « Sombrero de Paja Toquilla » (chapeau de paille). 

Source :Wikipédia